Plus précisément, les manifestations sont regroupées sous deux grands axes : la communication et l’interaction sociale d’une part, puis les comportements, activités ou intérêts restreints d’autre part. L’intensité des manifestations et l’impact de celles-ci sur le fonctionnement de ces personnes peuvent varier considérablement d’une personne à l’autre. Par ailleurs, la sévérité des manifestations sur le quotidien de ces personnes est appelée à évoluer au cours de leur vie.
C’est pourquoi on parle, avec l’arrivée de la cinquième édition du manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), d’un spectre de l’autisme, plutôt que d’une classification statique (autisme, asperger, TEDns) rassemblée sous une grande famille (TED) comme le présentait la version précédente.
